Un penthouse unique de plain-pied au Oasis Club, Golden Mile

L’intérieur s’ouvre sur un vaste espace de vie à aire ouverte qui s’écoule naturellement vers une cuisine moderne et épurée, conçue avec des meubles sur mesure et équipée d’appareils électroménagers de pointe. La lumière naturelle inonde chaque recoin, sublimant la palette douce et neutre et conférant à l’espace une élégance sereine et aérée. La résidence comprend trois chambres magnifiquement aménagées, chacune avec sa propre salle de bains attenante. Pensées pour le confort et l’intimité, chaque suite offre des espaces tranquilles qui reflètent le luxe décontracté d’un refuge cinq étoiles.

À l’extérieur, plusieurs terrasses profitent de la douce brise marine et offrent le cadre parfait pour dîner en plein air, prendre le soleil ou simplement se détendre en admirant le majestueux paysage marin.

Situé directement sur la plage, l’Oasis Club offre un accès incomparable à la mer. À quelques pas seulement de Puente Romano, de restaurants raffinés, de boutiques haut de gamme et du glamour du port de plaisance de Puerto Banús, ce penthouse est plus qu’une résidence : c’est une place au premier rang face à la Méditerranée et une occasion rare de vivre la Golden Mile dans toute sa splendeur.

Cet appartement n’a jamais été mis sur le marché auparavant et a été entièrement rénové par le propriétaire actuel en 2013.

La maison possède une histoire incroyable. La plupart connaissent la célèbre chanson de Barry Manilow, Copacabana, et il s’avère que c’est ‘Lola’ qui a vécu dans cet appartement même à la fin des années 40 et dans les années 50. Selon l’histoire, la boîte de nuit Copacabana appartenait à un mafieux cubain nommé Rico Castelli. En 1947, il est tombé amoureux de deux « Copa Girls ». Lorsqu’il en a kidnappé une, les gens du Copacabana l’ont sauvée. Lorsque Lola, la demoiselle en détresse, a retrouvé son petit ami, Castelli a tenté de leur tirer dessus. Cependant, sa petite amie est intervenue et lui a tiré dans le dos avant qu’il ne puisse le faire. Après cet incident, Lola ne pouvait plus rester en Amérique et s’est réfugiée à Marbella, où elle a vécu dans cet appartement en solitude.